

Episode 4. Approche ma reine
-Kingsley
Ça faisait si longtemps que j'étais parti. De mon retour, j'avais voulu faire un tour chez mon ami, Patrick.
Il me conduisit alors dans ce bar. Nous avions bu beaucoup de bières. Nous avions dansé toute la nuit. Vers 2 heures, il fallait que j'y retourne à l'hôtel. Je ne pouvais rentrer seule et passer la nuit isolé.
J'aime les femmes. Je ne passe jamais mes nuits seule. J'adore faire l'amour en longueur de nuit. Mon ami Patrick me proposa alors les services d'une certaine Yvie.
Je l'avais déjà assez baisé celle- là. Je voulais une nouvelle fille. Alors, je demandai qu'on amène chez moi, une jolie fille jusqu'à dans la chambre de mon hôtel.
Yvie savais que j'aimais les belles choses. Elle me proposa une nouvelle dans son équipe. Elle était de dos. Je n'avais pas assez d'équilibre, je demandai qu'elle fut conduit dans ma chambre d'hôtel.
Pour l'occasion, je demandai que ses yeux furent couvert. Je voulais tenter autre chose.
‹‹ Sans problème monsieur.›› elle tomba d'accord avec moi. Elle m'expliqua que sa nouvelle copine comprendra mes choix. Elle retourna vers la fille.
Elle lui murmura quelques choses à l'oreille mais avant qu'elle ne tourna le visage vers moi, j'étais partie dans ma voiture.
Comme d'habitude, Yvie se chargeait de ramener mes rencard jusqu'à mon hôtel. Je savais qu'elle allait le faire.
Je tournai chez moi, je me déhancher devant le miroir sous la bonne musique. Je n'attendais que son arrivé. Je voulais profiter du moment. J'étais dans la ville et personne de ma famille n'était au courant.
J'adorais leur faire de tel suprise. Le fils prodigue retournait à la maison que lorsqu'il souhaitait. Et personne n'avait le droit de me questionner même pas mes oncles.
Pendant ce temps, je débarrasse mes vêtements. Une bouteille de vin en main, je passai un très bon moment. J'attendais juste l'arrivée de l'élu du soir.
-Thérésa
Ma copine me conduisit dans ce bar. J'étais le genre de fille capricieuse et timide. Je ne fréquentais vraiment pas ces genres d'endroit.
Je fréquentais plutôt des bibliothèques qu'aux boîtes de nuits. Tout me paraissait bizarre et étrange.
Je voyais les hommes et les femmes danser...je me demandais si je pouvais survivre une seconde dans cet endroit.
Nous étions assise entre filles. Elle étaient extrêmement sexy. Des vêtements extravagants. Un make-up extravagant. Des décolletés provocateurs.
C'était gênant de s'y mêler. J'étais anxieuse en quelques sortes. Alors dans le but de me relaxer un peu, Lana me proposa de l'alcool.
J'ai d'abord refusé puis voyant le nombre de garçons qui avaient les yeux sur moi, j'acceptai enfin.
« voilà, tu te sentiras mieux. » Lana m' encouragea. Quinze minutes après, je me mis à danser. J'étais confondu à cette masse de jeunes qui s' éclataient.
Vers 2 heures, je voulais retourner chez moi. J'avais battu le record impensable de rester dans cet endroit inconnu. Ma chambre d'étudiant commençait à me manquer. Mon lit également.
« Lana, je dois rentrer. » Dis-je d'une voix remplie de fatigue.
‹ Sans voir le monsieur ? › elle me demanda inquiète.
‹ S'il n'est pas là, pourquoi devrais-je insister...ou attendre éternellement ! › répondis-je.
« Il est là. » elle répondit puis en me conduisant vers la table. Elle me demanda de m'assoir et d'attendre.
« S'il te plaît n'en fais pas trop Lana. » pleurai-je. « s'il n'est pas pas là, retournons à la maison.»
« Pas après un si grand effort que tu as déjà fais ma chérie.
Tu mérites d'avoir cet argent. Je sais que tu en as besoin. Tu dois vraiment attendre. » elle insista.
Sur ce fait, elle me quitta et alla dans un coin de la pièce. L'alcool me faisait sourire sans raison. Un jeune vint me demander une partie de danse. J'acceptai.
Il me conduisit sur la piste. Nous dansions un slow. J'étais cramponnée à lui lorsque Lana revient vers moi.
« Saillé, » Dit elle. « Tu peux te réjouir car ton rencard a été confirmé »
Malgré mon état d'ivresse. Mon cœur sauta d'abord dans ma poitrine. Elle me prit par le bras.
« Désolé monsieur, cette fille est déjà réservée.» Dit elle à l'homme.
Elle me vola par le bras et me conduisit dans un endroit un peu obscure. Elle parla à l'homme un moment.
Sur ce point,
Il accepta les négociations de Lana pour m'avoir dans son lit. Lana était si joyeuse.
« Qu'a-t-il dit?» demandai-je la boule au ventre.
« Il est d'accord ma belle. Il va te signer un chèque de trois cents cinquante mille. » Dit-elle.
« Juste pour une nuit?» demandai-je un peu inquiète.
« Oui ma belle. » Répondit elle avec joie. « Qu'est-ce que je te disais ? »
« mais c'est incroyable !! » j'étais contente. « ah mon dieu, je n'arrive pas à croire » criai-je avec une voix remplie d'ivresse.
« Je te l'avais dis.» elle commenta.
« Oh mon dieu, ça faisait des mois que je n'avais plus vu un billets de dix mille.» pleurai-je.
« intègre notre milieu, tu seras riche.» Dit-elle.
« non non, je ne peux pas abandonner mes études pour ce métier. En plus, qui sait s'il va vraiment me donner cet argent.» Demandai-je.
« Il le fera. » répondit elle. «Il pourra en donner plus si tu es bonne pour lui. » elle ajouta.
« Quelles sont ses conditions ? » demandai-je pour passer aux choses réelles.
« Juste que tes yeux soient couverts. Vous le feriez et l'argent sera à toi.»
J'étais en d'abord paniqué. Pourquoi voulait il faire une telle chose de cette façon ?
« Ce sont ces conditions bébé. Il n'y en a d'autres qui sont encore plus rudes, plus exigeants que cet homme. Tu as de la chance qu'il ne demande que ça. » Dit Lana.
Après un certain temps, elle me convainc. J'étais stressée mais j'avais besoin de cet argent alors j'ai accepté porté le masque.
Lorsque nous arrivons à la maison, j'étais complètement divaguer mais encore, j'étais décidé de le faire pour résoudre mes petits soucis et me faire plaisir avec le reste d'argent. En attendant que le seigneur face un miracle pour que l'on m'appelle pour un travail digne.
Sans savoir où j'étais conduit. Une porte de la chambre s'ouvrir. La chaleur de me corps descendit sur mes jambes.
«N'ai pas peur. Il ne te fera rien de mal. Il te donnera juste du plaisir.» me convainc Lana avant son départ. Après son murmure.
J'étais abandonnée à mon moi devant cette porte ne sachant pas où allez. Quelques minutes après, une voix masculine m' interrompit dans mes pensées.
« Ma reine, viens marche jusqu'à ton prince. »
Mon cœur sauta dans mon ventre. Tout était sombre tout était dans le noir. Et petit à petit, je commençai à me demander si celà n'était pas une mauvaise décision. Mais j'étais déjà dans gueule du loup. Il n'y avait plus d'échappatoire pour moi.
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